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  • « Je suis Marteau »

    Dans une pièce, une structure comprenant deux grandes faces l'une opposée à l'autre, de sorte qu'une seule face soit visible à la fois, amenant le regardant à un déplacement progressif.

    Le regardant entre dans la pièce, en face de lui une boîte, suffisamment grande pour qu’il puisse y glisser sa tête. Un texte suffisamment petit est écrit sur la boîte, de sorte à ce que le regardant s'approche longtemps. Dans cette boîte, une caméra scanne son visage. Une fois le texte lu, la structure amène le regardant à se déplacer vers la face opposée :

    La face opposée est un écran sur lequel passent en boucle des déguisements tels que ci-dessous :
    ou ceux ci :
    Déguisement dont les visages sont remplacés par les visages des membres du jury.

    Lors de notre dernier entretien, nous avions simplifié de sorte que uniquement la tête soit en mouvement tandis que les corps en costume restent inanimés. Mais je cherche des solutions afin de faire danser les corps (quitte à ce que ce soit très mal fait, l’idée reste de singer le jury lorsqu'il ou elle performe le professionnel de l'art).

    Nous avions aussi établi qu'un délai serait favorable à l'effet de surprise, c’est-à-dire que la personne scannée, une fois le tour de la structure effectué, se trouve en face de son propre visage détourné, et non en face de celui d'un/une autre membre afin qu'iels se moquent d'ielles-mêmes et non d'une/un autre.
    Quant à l'intention :

    Contexte : À l'aide d'un travail textuel, théorique, lourd, nommé "Je suis marteau", j'essaye de discuter différentes questions : (classe, technique) et avec comme question principale "l’artiste en tant que producteur de violence symbolique".

    C'est un travail de texte que je contraste avec un travail plastique, plus vivant, plus coloré, plus concis où j'essaye de ridiculiser l'image de l'Artiste en soulignant sa posture, en quelque sorte son costume, son statut.

    Quant au moyen matériel :

    La structure serait en placo, l'écran dans l'idéal serait celui d'une tablette, la caméra une webcam de sorte à ce que le tout soit facilement encastrable dans une structure sur laquelle je peux intervenir plastiquement.

    Capteurs : il s’agirait dans le scan du haut du visage, de son détourage en direct et automatiquement qu'il soit appliqué tel un filtre sur ces déguisements.
    Après avoir réalisé mon premier test, je suis heureux de partager les premiers résultats obtenus, qui posent les bases des futurs questionnements techniques.
    Voici les résultats :
    les principaux défis techniques auxquels nous sommes confrontés : 
    • bien capter les visages, les isoler afin de les contraindre dans des proportions acceptable afin que le dispositif fonctionne
    • Faire ce mouvoir le personnage si c’est toujours d’actualisées
    voici les autres essais : 
    Grace a cet homme j'ai trouvé une solution superbe : 
    Il ne me reste qu'a le faire sur mon patch puis faire le passage du scan visage a l'isolation et l'envois vers mon masque.
  • Après la pluie vient le beau temps.

    « Après la pluie vient le beau temps », cette maxime trouve une expression artistique dans ce projet réalisé avec le logiciel Isadora.

    Le processus capitalise sur la simplicité de la métaphore. En se tenant devant la caméra de l’ordinateur, l’utilisateur est confronté à un choix symbolique. En fonction du « recul » qu’il prendra, l’écran lui révélera ce que son recul lui permet de voir : aussi bien un paysage ensoleillé que la pluie battant son reflet.

    08/12/23 :

    08/12/23 : Le projet, au stade où il se situe, se heurte à plusieurs problématiques.

    • Adoucir la fermeture de la vitre en contrôlant le flux de données, tout en limitant son mouvement vertical à une descente uniquement.
    • Il s’agirait également de pouvoir obtenir un fichier vidéo de gouttes d’eau sur fond vert afin d’optimiser la manipulation de la transparence.
    • J’aimerais également intégrer la possibilité de dessiner sur la vitre, comme on le ferait avec de la buée.

    15/12/23 : Évolution en attendant l’utilisation de Kinect :

    • Un chroma key remplacera le « recul » précédemment évoqué, avec comme déclencheur une écharpe de couleur bleue. Voici :

    À la fin de la vidéo, on voit que la transition est plus fluide ; plus l’écharpe se rapproche, plus la vitre descend, comme illustré ci-dessous :

    En d’autres termes, plus je me rapproche de mon reflet (de la « vitre »), plus on entrevoit le beau temps.

    • L’idéal serait de faire l’inverse : plus il y a de recul, plus le beau temps se laisse entrevoir.
    • Il faudrait que le « beau temps » soit à 100% opaque. Pour l’instant, il fonctionne en transparence avec la vidéo du « mauvais temps » et la capture live du « reflet miroir », ce qui permettrait un contraste plus marqué lorsque le beau temps apparaît.

    22/12/23 :

    Voici les photos du projet au 22/12 : respectivement devant la caméra et éloigné par rapport à la caméra :

    Voici la capture d’écran d’Isadora :

    Ainsi que la vidéo qui offre une meilleure illustration du fonctionnement :

    Quelques problèmes subsistent :

    • Le mouvement vertical de la vitre, autrefois frénétique, est maintenant un peu trop lent.
    • En « l’absence de rouge », la vitre ne se baisse pas entièrement.
    • Autant de problèmes qui se résoudront avec l’ajout d’une Kinect en guise de capteur de mouvement et donc de recul.
  • Malentendu dans l’Ouest.

  • reenactement

    documentaire anachronique, le point de vue des média sur les jeunes, immuable ?

    Du point de vue des années 60/70 ou même 80 Le Média traites le Jeune de façon similaire si bien que mis bout a bout les description de ces différentes jeunesse peuvent toute a fais fusionner pour illustrer des images de 2020.

  • Per un pugno di dollari

  • ABSTRAIT

  • pinpon

  • apparition disparition transformation

  • GIF

  • Le syndrome de Stendhal

    En sortant de Santa Croce, j’avais un battement de cœur, la vie était épuisée chez moi
    je marchais avec la crainte de tomber. »
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